Ronan Le Dissez : bombarde, flûte traversière              Audrey Le Boulzec : danse
Stéphane Foll : biniou                                                   Pauline Sol Dourdin : danse
Nicolas Pointard : batterie                                           Olivier Rosmorduc : danse
Delphine Quenderff : contrebasse                                Laëtitia Bechet : danse
Pierre Stephan : violon                                                 Isabelle Tassin : danse
Rozenn Derriennic : saxophone                                   Dorig Le Cras : danse
Christophe Correc : accordéon diatonique                  Maud Guillois : danse
Jérôme Teurtrie : son                                                   Thibaut Galmiche : lumière

 

DéKoeff des pieds ça monte à la tête ! est une création contemporaine réunissant sept musicien-ne-s et sept danseur-se-s d’expressions artistiques multiples : musique traditionnelle bretonne, jazz, musique improvisée, danse traditionnelle bretonne, contemporaine…

Quels que soient leurs parcours, tous sont attachés à la musique et à la danse bretonne, avec un ressenti propre.

Cette confrontation des sensibilités les a menés à une réflexion sur leurs propres perceptions. D'où l'envie d'explorer, d'expérimenter ensemble, de mettre en scène l'énergie dégagée par ces danses communautaires et/ou intimistes, le lien omniprésent entre musique et danse.

 

Comment mettre en scène ces moments inattendus, furtifs ?

Comment figer l'indicible, l'impalpable, ces instants qui n'existent qu'à plusieurs, nos corps entraînés par le flux des autres corps, par la vibration des notes, des airs, le martèlement des pieds au sol ?

Comment recréer l'écoute et l'échange qui se fait ou pas à un moment donné, lors d'un fest-noz par exemple ?

Ce travail est pour chacun-ne des protagonistes une expérience nouvelle. Un projet collectif où la différence reste présente et nécessite respect de l'autre, tolérance, ouverture d'esprit. Chacun-ne apporte son vécu et inspire l'autre à sa manière. Cette interaction ouvre des voies inexplorées, souligne des détails à priori anodins et dévoile une vision sensible du traditionnel.

La simple pose d'une coiffe, oh combien automatique pour une danseuse de cercle celtique devient une chorégraphie à part entière, un moment de poésie, ou au contraire, de sauvagerie pure !

 

 

 

 

 

 

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